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  • De la viande cultivée sur des épinards

    Les épinards pourraient servir à la production de viande cultivée. C’est ce qu’une équipe d’ingénieurs du Boston College (États-Unis) a conclu dans une étude scientifique récemment publiée dans la revue Food BioScience.  
  • Aleph Farms va encore plus loin

    Il existe déjà une grande diversité parmi les développeurs de viande cultivée, en termes d'objectifs, de préoccupations et de stratégie. Certaines entreprises se concentrent sur la viande de bœuf parce que les bovins ont le plus grand impact sur l'environnement. D'autres veulent créer une viande cultivée pour remplacer le poulet, car les élevages de poulets sont les pires de l'industrie de la viande en termes de bien-être animal. D'autres encore se concentrent sur les poissons ou les crevettes, respectivement, en raison de la surpêche et de la pollution due aux élevages de crevettes. Une entreprise veut commercialiser rapidement un produit, l'autre se concentre sur les percées. Aleph Farms fait partie de cette dernière catégorie.
  • GAIA lance une avant-première scientifique mondiale : une étude de l’impact environnemental de la viande cultivée   

    Quel est l'impact environnemental d'un kilo de viande cultivée, dans un scénario de production commerciale ? C'est la question abordée dans la nouvelle étude de GAIA, menée par CE Delft en collaboration avec The Good Food Institute (GFI). Lorsqu'elle est produite à l'aide d'énergies renouvelables, la viande cultivée a un impact environnemental inférieur de 93 % à la production de viande de bœuf conventionnelle, de 53 % à celle de porc et de 29 % à celle de poulet. « Les résultats sont clairs", déclare Hermes Sanctorum, consultant en viande cultivée pour GAIA. "Si vous voulez agir en faveur de l'environnement, vous devriez privilégier l’alimentation végétale. Si vous souhaitez toujours manger de la viande, alors vous devriez consommer de la viande cultivée produite avec de l'énergie verte : c'est bon pour les animaux et bon pour l'environnement »
  • L'Europe ne doit pas devenir un musée de l'alimentation

    Ira van Eelen, fait autorité dans le débat sur l'alimentation durable. Fille du défunt Willem van Eelen, premier inventeur/chercheur de la viande cultivée, elle a grandi avec ce concept. Elle est également conseillère pour Eat Just. Eat Just est la première entreprise à avoir obtenu une licence pour produire et proposer de la viande cultivée aux consommateurs de Singapour.
  • La viabilité économique de la viande cultivée

    L'année 2020 a été marquée par quelques avancées dans le domaine de la viande cultivée. Singapour est devenu le premier pays dans lequel la viande cultivée peut être commercialisée. Un certain nombre de produits de viande cultivée spéciaux, comme le bacon, ont également été présentés pour la première fois en 2020. La viande cultivée a le vent en poupe, c'est clair. Mais ce ne sera un véritable succès que s'il peut être fabriqué à grande échelle. Cette évolution est toujours en cours.
  • Non, la viande cultivée, ce n’est pas de la viande “artificielle”.

    On peut d’abord s'interroger sur la naturalité de la viande conventionnelle. Dans les élevages industriels, les animaux sont le fruit d’une sélection artificielle intense, dont l’objectif premier est d’optimiser la production de viande, de lait et d'œufs. Par exemple, les poulets de chair grossissent aujourd’hui 4 fois plus vite que ceux élevés dans les années 50 ; une poule pond environ 300 œufs par an alors que sa cousine sauvage n’en pond qu’une vingtaine dans le même laps de temps. Les animaux, inséminés artificiellement, sont séquestrés dans des bâtiments, et les éleveurs ont recours à des hormones et des antibiotiques. Bref, plus on y réfléchit, et plus il semble ardu de voir la viande conventionnelle comme un produit naturel.
  • Le premier restaurant de viande cultivée à ouvert ses portes

    À Tel-Aviv, The Chicken ouvre ses portes, un restaurant où vous pouvez déguster la viande cultivée de SuperMeat. L'objectif est non seulement de faire découvrir la viande cultivée aux visiteurs, mais aussi de recueillir leurs réactions et de l'améliorer. Sans oublier, point important, que cela nous permet de montrer aux gens comment tout est fait.
  • La question à 1 million : quand pourrons-nous manger de la viande cultivée ?

    Lors d'une interview avec le magazine The Spoon, Josh Tetrick - PDG de Eat Just - se montre prudent. Il parle de production de masse à l'échelle mondiale. Mais entre les prototypes d'aujourd'hui et la production à grande échelle de demain, il existe plusieurs étapes intermédiaires, où la viande cultivée serait en effet déjà vendue et consommée. Josh Tetrick et son entreprise ont l'expérience du déploiement d'alternatives aux produits animaux.
  • L'Union européenne finance la recherche sur la viande cultivée

    Le gouvernement américain a décidé de soutenir pour la première fois la viande cultivée. L'Union européenne a également annoncé qu'elle souhaitait financer la recherche dans ce domaine. Sous l'impulsion de GAIA, 3,6 millions d'euros d'argent provenant du gouvernement flamand ont été débloqués à la fin de l'année dernière pour le développement de la viande cultivée.
  • Le nom à son importance

    Le nom de la viande cultivée, surtout en anglais, a déjà une histoire. Au cours des dix dernières années, elle a changé de nom à plusieurs reprises. Les recherches montrent que les gens sont effectivement influencés par les noms et les mots. Dès les années 1940, des études ont montré que les attentes des consommateurs ont un impact significatif sur l'expérience alimentaire.